Un Franco-algérien recherché par Interpol a été arrêté à l'aéroport Mohammed V de Casablanca, au Maroc. L’homme poursuivi pour des faits d’escroquerie, de fraude et de blanchiment d’argent sera extradé en France.
Dans une récente opération policière menée à l'aéroport Mohammed V de Casablanca, un individu faisant l'objet d'un mandat d'arrêt international émis par la France a été appréhendé sans incident, rapporte le média marocain Bladi.net. L'homme d’origine algérienne, en provenance de Dakar, a été identifié comme un individu clé au sein d'un réseau criminel spécialisé dans le détournement de systèmes informatiques, l'escroquerie, la fraude et le blanchiment d'argent.
Les autorités françaises avaient émis un mandat d'arrêt international à l'encontre de cet individu, dont les activités illégales s'étendaient à l'échelle internationale. Les charges qui pèsent contre lui sont d'une gravité certaine, notamment son implication présumée dans des opérations d'escroquerie à l'échelle mondiale, de fraude et de piratage de données bancaires. Il aurait également orchestré des transferts illégaux de fonds vers une entreprise dont il était le dirigeant en Côte d'Ivoire.
Le franco-algérien extradé en France
L'arrestation s'est déroulée de manière efficace dès l'atterrissage du suspect, et ce, grâce à une vérification rapide de ses empreintes. Cette procédure a confirmé sa présence sur la liste rouge d'Interpol, conformément à la demande des autorités françaises. Actuellement en garde à vue, le suspect fait l'objet d'une procédure d'extradition, et les autorités françaises ont été promptement informées en vue de préparer le transfert.
Les activités criminelles de l'individu en question étaient diverses et s'étendaient à des domaines tels que le détournement de systèmes informatiques, l'escroquerie, la fraude et le blanchiment d'argent. Son rôle clé au sein de ces opérations illicites a été confirmé par les enquêteurs, qui travaillent en étroite collaboration avec Interpol pour démêler les ramifications complexes de ce réseau criminel transnational. La procédure d'extradition actuellement en cours vise à rapatrier l'individu d’origine algérienne en France, où il devra répondre de ses actes devant la justice.
