Nous en sommes déjà au onzième jour de ce mois de ramadan sacré, et comme tout le reste de l’année, les musulmans du monde entier sont tenus de compléter leurs cinq prières quotidiennes. Bien qu’elle soit toujours obligatoire, la prière prend une dimension supérieure lors du mois sacré car elle permet aux fidèles de se rapprocher de Dieu. Découvrez les horaires de prières de la ville de Montréal ce 02 avril 2023.

Horaires de prières de la ville de Montréal (02/04/2023)

Voici les horaires de prières de la ville de Montréal le 02 avril 2023, correspondant au onzième jour du mois de Ramadan 1444.

Le Imsak est prévu pour 5h09 à Montréal, à la même heure que Salat el Fajr. Les musulmans de Montréal devront ensuite prier deux fois avant l’arrivée du Iftar, à 12h58 pour le Duhr et à 16h33 pour le Asr.

Le Iftar (ou Maghreb) est prévu pour 19h24. Certains croyants considèrent qu’il faudrait attendre cinq à dix minutes après le Maghreb pour rompre son jeûne, mais cette pratique n’est pas prise en compte par la grande majorité des fidèles.

La dernière prière aura lieu à 20h48, c’est El Isha, elle sera suivie de Tarawih.

Quelle est l'influence de la couverture médiatique sur la perception publique du ramadan ?

La couverture médiatique du ramadan peut varier considérablement selon les pays et les types de médias. Certains médias peuvent donner une grande importance à cette période, tandis que d'autres peuvent ne pas la couvrir du tout.

D'une part, une couverture médiatique positive et respectueuse du ramadan peut aider à sensibiliser le public aux pratiques religieuses des musulmans et à favoriser une meilleure compréhension et tolérance interreligieuse. Les médias peuvent mettre en avant des histoires sur la signification spirituelle du Ramadan, les traditions associées à cette période, les efforts caritatifs menés par les communautés musulmanes, etc. Cette couverture peut aider à contrer les stéréotypes négatifs souvent véhiculés dans les médias et à promouvoir une image plus positive des musulmans.

D'autre part, une couverture médiatique négative ou sensationnaliste du ramadan peut renforcer les préjugés et les stéréotypes existants à l'égard des musulmans. Par exemple, les médias peuvent se concentrer sur les actes de violence commis par des extrémistes qui se réclament de l'islam, ou sur les tensions entre les communautés religieuses pendant cette période. Ces reportages peuvent nourrir la peur et la méfiance à l'égard des musulmans, et contribuer à la propagation de discours de haine.