Pep Guardiola demande pardon aux Algériens

L’entraineur espagnol de Manchester City, Pep Guardiola, a été invité à s’exprimer sur le cas du capitaine des Verts, Riyad Mahrez, laissé sur le banc des remplaçants lors de la dernière rencontre face à Newcastle en championnat. En conférence de presse d’après match, le technicien a demandé pardon aux supporteurs algériens.

Sur une courbe ascendante depuis quelques semaines, Riyad Mahrez, a aligné les titularisations et surtout les bonnes performances avec son club, Manchester City. L’ailier algérien a été d’ailleurs sacré meilleur joueur de son équipe du mois de janvier dernier.

Contre toute attente, la capitaine des Verts a été laissé sur le banc des remplaçants lors de la dernière rencontre face à Newcastle que Manchester City recevait pour le compte de la 26eme journée de la Premier League. L’Algérien n’a joué aucune minute de cette explication au grand dam de ses fans et du public sportif algérien d’une manière générale. La déception fût grande en effet chez les supporteurs des Verts qui n’hésitent d’ailleurs pas à exprimer leur mécontentement à chaque fois que leur idole ne soit pas incorporé par son coach.

« Même les supporters argentins sont en colère contre moi »

Pour certains observateurs, Riyad Mahrez paye le retour en forme de son conccurrent à son poste, le joueur anglais, Phil Foden buteur d’ailleurs lors de cette empoignade emportée, signalons-le, par Manchester City sur le score de 2 à 0.

Ce n’est cependant pas le cas. Cela fait partie de la méthode du technicien espagnol qui est loin d’être un adepte du onze type. C’est d’ailleurs ce qu’il a affirmé lors de sa conférence de presse animé à l’issue du match. Tout en demandant des des excuses aux supporteurs algériens, Pep Guardiola a souligné que cela fait partie de son plan de jeu.

« je regrette pour le public algérien, c’est notre plan de jeu, même les supporters argentins sont en colère contre moi parce que je n’ai pas fait joué Julián Álvarez », a déclaré en effet le technicien espagnole répondant à une question qui lui a été posé par un journaliste du média algérien La Gazette du Fennec.

 

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