Encore un témoignage accablant envers la compagnie maritime française, Corsica Linea. Il vient cette fois d'un passager ayant emprunté la ligne Marseille-Alger, en aller-retour, à bord du Méditerranée. Le client n'en revient toujours pas. Dans un post publié sur Facebook, il a affirmé qu'il a effectué les pires traversées de sa vie.
« Je laisse mon avis concernant la traversé aller retour Marseille- Alger /Alger- Marseille, à bord du navire le méditerranée Corsica Linea », a-t-il écrit au préalable. Et d'affirmer ensuite : « Je n’ai jamais était fatigué et énervé de toute mes traversées que cette année. Anarchie totale, attente interminable, la queue partout. Une catastrophe ! ».
Pour ce voyageur, Corsica Linea n'est pas la seule responsable de cette situation : « Je pense que la responsabilité est partagée entre la compagnie, les autorités et les passagers aussi. Car, les passagers n'ont aucune limite. J’étais choqué. Aucun respect de l’autre. Certains sont habillés à l'européenne, mais avec une mentalité du tiers monde. C’est malheureux, mais c’est la vérité ».
Un été à oublier pour les ressortissants algériens
« Heureusement, malgré la fatigue, tout c’est bien passé en Algérie. J’ai profité avec ma famille et les miens… c’est l’essentiel », a conclu le ressortissant algérien. Il faut dire que ce n'est la première fois que la compagnie française est critiquée pour la qualité de ses services lors de ses traversées.
C'est surtout son navire le Méditerranée qui se retrouve sous les feux de la critique. Pour plus d'un, parmi les voyageurs qui l'ont emprunté, ce car-ferry est dépassé et ne répond plus aux normes.
Il faut dire cependant que ces désagréments sont loin d'être propre à ce navire. Les ressortissants algériens ont vu, en somme, de toutes les couleurs cet été. Les différentes traversées, que ce soit sur Corsica Linea ou Algérie Ferries, ont été marquées par des situations contraignantes pour eux.
Retards, reports et longues chaînes d'attente font partie du lot quotidien des voyageurs. Cela sans oublier le problème des réservations auquel ils étaient confrontés. Ils le sont toujours d'ailleurs.
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